L’ÉCHANCRURE DE L’AUTRE
(France – 2016 – 6min10 – Couleur)
de Bénédicte Loyen.
Cinéaste, je suis retournée sur ces lieux avec le désir profond d’éclairer « à la clarté sombre des réverbères » ces images de papier, de les confronter avec l énergie de ma caméra à ces terres abandonnées, ces êtres croisés longeant d’ innombrables murs de brique rouge, ces paysages ébréchés de drache constante, ces musiques tiraillées s’évanouissant dans le sombre, la joie, le doute de demain.
Ce film fait partie du programme 1 du concours de courts-métrages 2017.
Critiques des étudiants du Lycée Rabelais de Fontenay-le-Comte:
« L’Échancrure de l’autre » de Bénédicte Loyen ne m’a pas du tout plus. À l’inverse du précédent court-métrage je trouve que c’est mal filmé, que la personne qui parle est soit trop proche du micro soit il est défaillant et je n’ai pas bien compris le message qu’elle voulait faire transmettre. Néanmoins, les paroles étaient jolies. (Élève au Lycée François Rabelais de Fontenay-le-Comte)
J’ai beaucoup aimé le court métrage : « L’Échancrure de l’autre » de Bénédicte Loyen car passionnée par la photographie je me suis fait laisser bercer par les textes accompagnés des photos représentant la rue et la vidéo qui me semblent un mélange ambitieux entre la contraction d’une image fixe et une image animée, ce qui prouve un réel travail de création, de montage et de coordination avec la voix-off. J’ai également aimé le travail du noir et blanc qui rendait le tout beau à regarder. De plus, cette voix douce nous berçait entre chaque image, même si quelques textes étaient un peu longs à mon goût, cela n’empêche pas de dire que l’écriture était belle. (Léa Roussillon, élève au Lycée François Rabelais de Fontenay-le-Comte)